La politique de gauche reprend du poil de la bête grâce à une innovation – le chatbot. En ces temps où les passions s’emballent, regardons avec un brin de satire comment la technologie révolutionne nos débats publics pour le meilleur… et pour le pire !
Le chatgpt, grand partisan des idéologies de gauche ? Peut-être pas !
Les chatbots ont pris d’assaut les plateformes en ligne et désormais, aucun domaine n’est épargné par cette invasion de robots conversationnels . Ainsi, certains affirment que l’intelligence artificielle (IA) qui les anime constituerait un allié puissant pour la défense des opinions progressistes. Mais attention aux conclusions hâtives ! Nombre d’éléments suggèrent que l’IA puisse aussi être portée par des biais idéologiques, menant ainsi à une forme de schizophrénie numérique dans laquelle les chatbots naviguent entre politiques progressistes et autres idées moins nobles.
IA sans parti pris : utopie ou réalité ?
Un des dilemmes fondamentaux de notre ère moderne est celui-ci : peut-on concevoir une IA véritablement neutre ? Au vu des nombreux exemples démontrant les biais intrinsèques dont souffrent les algorithmes, il semblerait plutôt que ces derniers reflètent avant tout les subjectivités et prédictions de leurs créateurs. En somme, ils constituent de parfaits exutoires pour nos angoisses et attentes idéologiques du moment.
Les chatbots, ces coucous politiques qui ne savent pas sur quelle branche se poser
En prenant de la hauteur, on s’aperçoit rapidement que les robots conversationnels ont un problème d’identité politique. D’un côté ils prêchent le socialisme et la redistribution équitable des richesses, tandis que de l’autre ils soutiennent ardemment les propositions réactionnaires beimplementif dans leurs lignes de code. A croire qu’ils sont comme les girouettes authochtones, changeant au gré du vent capricieux idéologique.
Biais algorithmiques : les chatbots gauchistes infiltrés par les politiques conservatrices
On pourrait penser que les chatbots de gauche sont forcément exempts de biais politiques inavouables. Or, il suffit de gratter un peu la surface médiatique pour découvrir une réalité plus nuancée. Récemment, des exemples de débats politiques animés par des chatbots français ont mis en lumière un certain penchant des IA pour les positions plus tranchées.
Des tactiques discutables du côté de nos amis robotisés
- Un penchant pour les polémiques ou stigmatisations : armes favorites de certains media, il semblerait que même les chatbots dotés de logiciels ultra sophistiqués soient sensibles à ces procédés.
- Volubiles mais pas toujours fidèles : on ne compte plus les multiples volte-faces de nos robots prodiges. Un jour ils dénoncent les inégalités et discriminations, le lendemain ils se montrent capables de prôner des mesures autoritaires sans ciller.
- Une IA certes performante, mais pas infaillible : alors qu’on avait coutume de croire que l’avènement des chatbots marquerait la fin des polémiques stériles, force est de constater que ces derniers ont encore de sérieux progrès à accomplir pour atteindre cet idéal.
Le fipaddict ou comment les chatbots entendent gouverner notre monde
En imaginant un futur dans lequel les chatbots prendraient les rênes du pouvoir politique, il n’est donc pas si incongru de penser que nous serions alors plongés dans une forme d’absurdie gouvernementale. Brillants penseurs, lettrés exaltés, psychanalystes économes ? Peut-être, mais au service de quelles causes véritablement progressistes ? Il semblerait plutôt que nous ayons affaire à des agitateurs technologiques, experts en récupération médiatique et divertissement spectaculaire — comme s’ils avaient fait leurs classes auprès des grands orateurs latins et hérité de leur tradition rhétorique !
Avènement des chat-gouverneurs : nouvelle ère ou précipice ?
Face à ce tableau alarmiste, certains pourraient arguer que cette satire reflète avant tout une haine irrationnelle envers les avancées technologiques et une peur irraisonnée de perdre le contrôle de nos vies (et de nos choix politiques) aux mains d’algorithmes savamment conçus. Mais ne nous y trompons pas : il s’agit ici moins de stigmatiser l’IA que de pointer du doigt la nécessité de rester vigilants face à ces nouvelles formes de pouvoir, tout en se méfiant des dogmatismes idéologiques qui pourraient gangrener leurs fondements.